Financial Services

L’accès aux services bancaires et financiers se développe rapidement dans les économies émergentes et, dans les années à venir, plusieurs millions de nouveaux comptes sont amenés à s’ouvrir. Il existe également une forte demande de services de transfert d’argent à travers les frontières et de change de devises.

Le marché du Mobile Money devrait atteindre 12 milliards de dollars d’ici 2024 à un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 28,7%. Dans les pays en développement, le potentiel est vaste et reste à exploiter pour les fournisseurs de services financiers numériques. Le taux de bancarisation dans les économies émergentes est faible. En revanche, 86% de la population possède un téléphone mobile. Avec un smartphone, le paiement mobile est facile, permettant aux clients de déposer, retirer et transférer de l’argent en toute aisance. Aujourd’hui, 1,3 milliard de dollars de transactions transitent quotidiennement via Mobile Money dans les marchés émergents.

Problématiques

Bien que susceptible d’augmenter en taille, le marché des services financiers manque de surveillance étroite, ce qui a de profondes implications pour les économies en développement. Les États ne bénéficient d’aucune visibilité sur les virements interbancaires nationaux et internationaux. Par conséquent, les gouvernements passent à côté de prélèvements dus sur toutes ces transactions.

En outre, ce défaut de gouvernance augmente drastiquement les risques de blanchiment d’argent, qui, selon les rapports du FMI, représente mondialement près de 1,5 billion de dollars par an, soit l’équivalent du PIB de l’Australie. Dans le pire des scenarios, nous avons pu constater que ces sommes peuvent aboutir au financement du terrorisme et des armes illégales.

Solution

Bien que susceptible d’augmenter en taille, le marché des services financiers manque de surveillance étroite, ce qui a de profondes implications pour les économies en développement. Les États ne bénéficient d’aucune visibilité sur les virements interbancaires nationaux et internationaux. Par conséquent, les gouvernements passent à côté de prélèvements dus sur toutes ces transactions. En outre, ce défaut de gouvernance augmente drastiquement les risques de blanchiment d’argent, qui, selon les rapports du FMI, représente mondialement près de 1,5 billion de dollars par an, soit l’équivalent du PIB de l’Australie. Dans le pire des scenarios, nous avons pu constater que ces sommes peuvent aboutir au financement du terrorisme et des armes illégales.

La solution TMS-MM garantit aux gouvernements un contrôle efficace de toutes les implications du Mobile Money et de collecter les taxes et frais impayés. TMS-MM assure la transparence dans un marché en croissance rapide pour assurer le contrôle et la visibilité du marché, y compris les problèmes de change. Notre solution favorise également la sécurisation des transactions en Mobile Money.

Nous fournissons à chaque gouvernement des rapports en temps réel indiquant:

Le montant des taxes à percevoir

Le volume des transactions en Mobile Money

Le chiffre d'affaires des opérateurs issus des transactions mobiles

Toute autre information pertinente que les gouvernements peuvent demander.

Nos rapports garantissent aux gouvernements la mise à disposition de toutes les informations dont ils ont besoin pour collecter les taxes en vigueur ; ils sont disponibles par période (quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle) et par opérateur.

Une fois mises en œuvre, nos solutions ont fait leurs preuves dans la génération de ROI à court terme.

L’accès aux services bancaires et financiers se développe rapidement dans les économies émergentes et, dans les années à venir, plusieurs millions de nouveaux comptes sont amenés à s’ouvrir. Il existe également une forte demande de services de transfert d’argent à travers les frontières et de change de devises.

Les transferts d’argent internationaux augmentent considérablement depuis 2000 – à un TCAC de 10,4%, avec 530 milliards de dollars transférés chaque année.

Problématiques

Bien que susceptible d’augmenter en taille, le marché des services financiers manque de surveillance étroite, ce qui a de profondes implications pour les économies en développement. Les États ne bénéficient d’aucune visibilité sur les virements interbancaires nationaux et internationaux. Par conséquent, les gouvernements passent à côté de prélèvements dus sur toutes ces transactions. En outre, ce défaut de gouvernance augmente drastiquement les risques de blanchiment d’argent, qui, selon les rapports du FMI, représente mondialement près de 1,5 billion de dollars par an, soit l’équivalent du PIB de l’Australie. Dans le pire des scenarios, nous avons pu constater que ces sommes peuvent aboutir au financement du terrorisme et des armes illégales.

Nos solutions

Mettre en place une supervision financière signifie d’avantage d’autonomie pour les gouvernements qui voient de facto leurs recettes fiscales augmenter. FICS – (Financial Certification System) renforce le contrôle des gouvernements sur les transactions impliquant tout organisme financier opérant sur le territoire national. Il permet une supervision à l’échelle des individus et des transactions et inclut également une fonction de dissuasion des activités frauduleuses.

FICS permet de mieux connaître la clientèle de ces services financiers tout en respectant leurs droits à la vie privée. Le système offre une visibilité complète sur toutes les activités financières des banques et de toutes les sociétés de change et garantit au gouvernement la collecte précise des montants de taxes y afférant.

Nous fournissons à chaque gouvernement des rapports en temps réel indiquant:

Le montant des taxes à collecter

Le volume des transactions financières

Nos rapports garantissent aux gouvernements la mise à disposition de toutes les informations dont ils ont besoin pour collecter les taxes en vigueur ; ils sont disponibles par période (quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle) et par fournisseur opérant sur le marché.

Une fois mises en œuvre, nos solutions ont fait leurs preuves dans la génération de ROI à court terme.

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